9
votes

3 Réponses :


7
votes

Il n'y a pas de vraie façon simple. Vous devez isoler la plupart (sinon toutes) vos routines spécifiques à la plate-forme dans différents fichiers et les charger après la vérification de la plate-forme.

Steve Yegge a des informations sur la façon dont il gère son fichier .emacs avec le code actuel lui-même sur ici . L'un de ses points est de savoir comment il conserve la plate-forme croisée pirailleuse. Ça vaut la peine de lire.


0 commentaires

3
votes

J'ai une configuration très similaire sur la vôtre (EMACS 22.1, 22.2, 23.1 sur diverses versions Linux avec et sans X et Windows avec et sans cygwin). Ma configuration comprend ELPA, Auctex, EMACSW32, CEDET, JDEE, NXML et divers autres packages ELISP. Je n'utilise pas tout ce qui est livré avec le système mais conserver des copies de ces packages en subversion.

La majorité de la configuration fonctionne simplement dans tous les environnements. En ce qui concerne les chemins, je pense que la majorité des choses que l'on veut appeler, telle que Aspell, peut être appelée à l'extérieur de Emacs de la ligne de commande aussi, il vaut donc la peine de les mettre en $ Path, évitant ainsi de devoir spécifier des chemins complets dans Emacs. p>

pour d'autres choses, je fais En .emacs: p> xxx pré>

où dans linux.el: p> xxx pré>

et dans ntemacs-cygwin.el: P>

(defun system-specific-setup()
  ;; EmacsW32
  (setq emacsw32-root (concat private-elisp-lib "EmacsW32"))
  (add-to-load-path emacsw32-root)

  ;; Work around XSymbol initialization bug
  ;; ("C:\\ImageMagick\\convert" instead of system $PATH? Seriously?)
  (setq x-symbol-image-convert-program "convert")

  ;; etcetera...

)


1 commentaires

+1 pour le code réel. Je dois apprendre à être moins paresseux la prochaine fois. :)



0
votes

Vous pouvez consulter My Emacs Configs , où les opérations pour les machines à diffamation sont séparées Fichiers


0 commentaires